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L'homme gara sa Fiat dans la rue, juste en face l'entrée de l'immeuble, en se disant que pour une fois, il avait de la chance. D'habitude, ces places-là étaient toujours occupées lorsqu'il rentrait tard du boulot. Il traversa la chaussée rapidement, essayant d'éviter au maximum les gouttes de pluies qui crépitaient sur l'asphalte depuis une vingtaine de minutes. Il pénétra à l'intérieur, puis ouvrit la petite porte de la boite aux lettres marquée au nom d'Eduardo Deslilas. Il n'y avait rien. Probablement que son épouse Carolina, qui était de repos depuis la veille, avait déjà récupéré les éventuelles lettres et autres prospectus publicitaires. Puis il grimpa deux à deux les degrés de l'escalier jusqu'au second étage. Une minute plus tard, il pénétrais enfin dans le salon où l'attendait une agréable surprise.
Sur la table rectangulaire, recouverte par une splendide nappe provençale, brûlaient six bougies blanches dans deux magnifiques chandeliers argentés. Carolina, vêtue d'une superbe robe longue bleue turquoise moulant ses formes délicieuses, finissait de mettre le couvert. Ses boucles d'oreilles, son rouge à lèvres, son collier et son bracelet dorés rehaussaient sa beauté d'un éclat sans pareil. Elle avait vraiment mis les petits plats dans les grands pour séduire son chéri. Il se souvint alors brusquement que c'était son anniversaire.
Le repas lui-même fut tout simplement divin. Les prunelles des deux tourtereaux scintillaient d'un amour incommensurable tandis qu'ils dégustaient des mets raffinés dignes des banquets de l'Olympe. Au cours du dessert, tendant une jambe, la charmante jeune femme appuya doucement du bout du pied sur les parties intimes de son amant. L'effet fut immédiat mais elle lui fit comprendre qu'il fallait être un peu patient. Après le dîner, ils débarrassèrent la table, puis firent de la place devant le canapé au pied duquel s'alanguissait un tapis vaste et moelleux. Sur l'invitation de sa gracieuse dulcinée, Eduardo s'assit et observa, les yeux emplis d'une formidable passion pour sa tendre et voluptueuse amante.
Celle-ci plaça une chaise à deux mètres face à lui, enclencha une musique d'ambiance particulièrement suggestive et entama une danse lascive d'une rare sensualité, le regard particulièrement aguicheur. Ses mains, tandis qu'elle bougeait tout son être en cadence, caressaient son corps admirable avec une lenteur calculée. En un rien de temps, son partenaire sentit son sexe qui s'agitait follement dans son habit de coton. Carolina, tout en se mouvant, se mit à dégrafer doucement sa robe qui tomba bientôt à ses pieds dénudés. Le soutien-gorge et la culotte suivirent tout à tour le même chemin dans la pénombre environnante. L'excitation du garçon augmentait au fur et à mesure que son épouse se déhanchait, se touchait les fesses, le ventre, le buste, s'asseyait sur la chaise en écartant ses longues jambes fines et en faisant tournoyer autour de son joli visage sa magnifique chevelure sombre comme la nuit. Elle se mit à lancer un regard enfiévré à son mari tout en se passant avec sensualité la langue sur ses lèvres vermeilles. N'en pouvant plus, l'homme se dévêtit promptement, libérant par la même un pénis tout en émoi. Devant lui, sa désirable femme se massait les lolos d'une main tandis que l'autre frictionnait l'humide région située au sud de son triangle soyeux. Son plaisir était évident et ses pupilles brûlaient d'un feu vif extraordinaire.
Se rendant compte de l'état d'excitation dans lequel elle avait mis son amoureux, et elle-même étant au comble de la félicité, Carolina se dressa fièrement, s'avança vers l'homme d'une démarche féline puis s'agenouilla devant lui, entre ses jambes écartées. Elle titilla alors le gland du bout de la langue, puis prit la verge en érection entre ses seins et se mit à faire de ravissants va-et-vient tout en plongeant son regard torride dans celui d'Eduardo. Puis elle se leva et monta sur le canapé en présentant son oasis mystérieuse devant le visage de son partenaire. Celui-ci ne se fit pas prier : sa langue s'immisça avec entrain au creux de la savoureuse grotte ainsi présentée. Elle soupira d'aise tandis qu'il lui léchait le clitoris tout en lui pelotant la croupe.
Finalement, elle s'accroupit sur lui, guidant de sa main experte la tringle toute raidie de l'homme au cœur de sa caverne aux mille délices. Enlacés, ils ne formaient plus qu'un. Leur peau devint moite, puis se couvrit d'une fine pellicule de sueur tandis qu'ils remuaient en cadence en laissant échapper des soupirs extatiques et des gémissement de bonheur. Puis la jeune femme, au bout d'un moment, se releva et partit sur le tapis en présentant son arrière-train à son conjoint. Elle savait que la levrette était sa position préférée. Il la rejoignit immédiatement et la pénétra avec une fougue renouvelée. La tenant fermement par les hanches, il se mit à lui donner de formidables coups de boutoir, de plus en plus vite. Agrippant la chaise comme un naufragé son radeau, elle se mit à pousser de petits cris et des phrases obscènes qui excitaient encore plus son partenaire : « oooh ouiiii, mon amour ! Continue comme ça ! Aaaaah ! Ouiii, ouiiiiii ! Aaaaah ! Mmmmm ! Surtout t'arrête pas ! Mmmmmm ! C'est délicieux ! Ooooh ouiii ! Encore ! Aaaah ! Plus fort ! Aaaaah ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii ! Aaaah ! Ooooh ouaiiiiis, bête de sexe ! Aaaaah ! Mmmmmm ! Ca vient, ça vient ! Ooooh ouiiii, mon amour ! J'en peux plus ! Aaaaah ! Ooooh mon dieu ! C'est trop bon ! Mmmmmm ! Ouiii ! Ooooh ouiiii, rejoins-moi, mon amour ! Ooooh ouiiiii, aaaaah ! Là, ouiiii ! Maintenant ! Aaaaaaahhh ! Je le sens, ouiiiiiii ! Oooh je jouiiis, je jouiiiiiis ! Aaaaaah ! Aaaaah ! Aaaah ouiiiiii ! Mmmmmmmmmm »
A cet instant précis, Eduardo Deslilas se retira in extremis et eut un orgasme formidable. Le liquide crémeux s'étala sur le dos de le jeune femme qui se tourna à demi en lâchant : « joyeux anniversaire, mon cœur adoré ! »
Dernière modification par Thierry16 (12-02-2007 00:39:15)
Le libertinage, c'est la science de la liberté, la sienne, celle des autres, dans la laquelle aucun acte ne peut être apprécié s'il n'est pas dans un désir total de plaisir.
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Ah.... Quelle belle histoire Thierry.... Un anniversaire de rêve....
Donc, j'en déduis que ton fanstasme serait de rouler en Fiat !!!!
....ou peut être une robe bleue turquoise....
Dis moi Thierry.... Ce ne serait pas bientôt ton anniversaire ???
Ne chercherais tu pas une princesse volontaire pour te proposer ce scénario ???
Un petit malin notre Thierry national !!
Avis aux amatrices !!
A tres bientôt Thierry
"La Femme est le chef d'oeuvre de Dieu ... Surtout quand elle a le diable au corps"
Alphonse Allais
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hummmmm mon titi , tjrs plus exitants tes textes , pour un anniversaire comme ça , quel pied , mais il faut que j'attende l'année prochaine sniffff
ça peut se faire aussi pour les ...non anniversaires ? lolll
bizouilles
ne quitte pas la personne que tu aimes pour celle qui te plait ,car celle qui te plait te quittera pour celle qu'il aime
La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infinie
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effectivement, Thierry est en pleine forme !!! quel texte !! Même un curé rougirait lol
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mon anniversaire c'est pour dans quelques mois .... 30 ans ca ce fête !!!!!!
Le sexe entre deux personnes, c'est beau. Entre cinq personnes, c'est fantastique...
L'homme naît avec ses vices; il acquiert ses vertus.
S'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.
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hoooo oui yeuxcoquins , 30 ans , que c'est loin deja
ce sera champagne au ....myko ?
bisousss
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