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#1 22-11-2013 22:06:39

LaMainHeureuse
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Inscription : 22-11-2013
Messages : 47

La Main hardie

Il faisait chaud et mon bonhomme m'avait moite. J'étais posée négligemment sur le banc de cèdre à coté de lui qui restait immobile depuis un bon moment. Je l'avais tiré par moi jusqu'ici un peu malgré lui, mais cela n'avait pas eu l'air de le gêner tant que ca, tout au plus un peu intimidé au début. Et à le voir ainsi, les yeux mi-clos, la respiration calme et profonde, je me disais que c'était exactement ce qu'il lui fallait : un agréable moment de détente au sauna.

Le sauna était désert et je soupçonnai mon bonhomme de s'être laissé allé à somnoler lorsque la porte s'ouvrit doucement. Une jeune femme se glissa par l'ouverture, sa serviette négligemment nouée autour de sa taille elle offrait au regard sa superbe poitrine. Elle marqua une courte pause, referma la porte derrière elle et se choisi une place. Elle décida de rejoindre le banc supérieur, se pencha lentement en avant, s'appuya sur le premier banc, se cambra et ondula au ralenti telle une féline en l'escaladant.

Prenant une longue inspiration elle s'allongea langoureusement sur le dos et laissa échapper un soupir d'aise. Elle se couvrit les yeux d'un bras tant dis que l'autre se reposait sur son nombril, tout en le caressant de tant à autre. Elle replia une jambe et laissa l'autre se balancer à coté du banc. Je réalisai que mon bonhomme ne respirait plus, il retenait sa respiration et ne s'autorisait que quelques prises d'air silencieuses. Il avait les yeux rivés sur ou plutôt sous la serviette de la belle. Comme elle ne le voyait pas la fixer ainsi, il se permit de plonger son regard au plus profond d'elle.

Soudain, son pied qui se balançait toujours vint -par inadvertance ??- me frôler le petit doigt. A ce contact j'envoyai à mon bonhomme une décharge électrique qui ne du pas non plus laisser la belle indifférente puisque son pied qui continuait ses oscillations vint me frôler à chaque passage tout en ralentissant. Moi je trépignais entre deux frôlements, me demandant ce que mon bonhomme pouvait bien attendre. Enfin il me mit en mouvement, je me retournai la paume ouverte si bien qu'au passage suivant je glissai sur l'intérieur de son mollet. Je la senti frémir, et décidait de poursuivre ma douce caresse.

De son coté ma collègue avait ouvert la serviette de mon bonhomme et commençait à le caresser. Diable, il était déjà bien en forme. La belle ne devait pas être dupe, car elle ouvrit imperceptible la jambe, m'invitant silencieusement à poursuivre ma tendre caresse. Faisant courir la pulpe de mes doigts sur sa peau nue je faisais de lents allés retours, montant toujours un peu plus haut vers son entrejambe. Je m'aperçu que la belle ne se caressait plus le nombril, elle avait laissé allé sa main à ma rencontre. A chaque mouvement je la voyais se rapprocher. Elle était belle et fine, sa façon de se mouvoir aussi lentement m'hypnotisait.

Après ce qui me paru une éternité de douceur, nous nous rencontrâmes, au moment même ou le bout de mes doigts survolaient son sexe. En un éclair elle fondit comme une lionne sur sa proie et m'attira en elle. Toute cette douce volupté et cette tendresse fut soudain submergée par une violente vague de désir. Je plongeais mes doigts en elle avec force et détermination tant dis que ses mains m'agitaient. Enhardis, par cette invitation aux excès j'accélérais la cadence, fouillais du bout de mes doigts son sexe trempé, et agitais son clitoris de mon pouce.

La belle râlait et ouvrait les cuisses toujours un peu plus a chaque coup de boutoir. Tant dis qu'elle se mettait à hurler et que son cul tendu de plaisir décollait du banc, j'accélérais encore. Ma collègue avait lâché le sexe tendu de mon bonhomme et était venu me prêter moi forte. Je présentai un doit sur le bouton de son petit cul, elle s'y empala frénétiquement. Mon bonhomme nous rejoignit et lui lécha le clitoris en cadence. Elle devint hystérique, et explosa de plaisir.
Alors que nous nous retirions, elle se laissa retomber sur le banc et afficha un sourire heureux et désarmant. Nous la laissâmes à son bonheur, et à ses rêveries où aurions peut être une place…

La Main.

Dernière modification par LaMainHeureuse (22-11-2013 22:07:22)


Une main ferme pour une caresse tendre
le contact d'une peau douce et frémissante
la promesse d'un instant de plaisir...

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